dimanche 30 septembre 2007

Article 92

A toi, frère de doute, nous dédions ces quelques mots d’imbécillité.
Nous avons voulu te les dire sur des rythmes variés que tu reconnaîtra parfois. Si nous avons accepté ces modes d’expression, c’est que nous les croyons plus savoureux et ainsi capables d’accrocher l’ego et de déclencher le festin. D’ailleurs ces quelques pages n’ont aucune prétention littéraire : elles voudraient seulement te monnayer un message de joie qui te retourne le coeur, celui de la stylistique paladionienne. Car, si l’on veut la comprendre comme l’incarnation progressive du freestyle dans la tête et ainsi comme notre rencontre personnelle d’une certaine littéralité, notre pratique est trop belle pour ne pas enthousiasmer ton coeur de soixante ans.
Et aussi, pour ce que cette vie de la combinatoire en nous est la première et, au fond, la seule réalité, nous espérons encourir de toi, routier, qui veux être réaliste, le reproche d’être à côté du réel.

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