Puisque la banqueroute des idées a effeuillé jusqu’au bout l’image de l’homme, ce sont maintenant les instincts et les arrières-plans qui se manifestent de manière pathologique. Comme aucun art, aucune politique, aucune conviction ou foi ne semblent pouvoir résister à cette lame de fond qui rompt toutes les digues, il ne reste que la blague ou la pose sanglante.
samedi 9 juin 2007
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