C’est pourquoi il faut partir de la beauté de la citation. C’est elle qui nous instruit de ce qu’il importe de sauver. Parce que toute beauté, et singulièrement celle que nous visons, a pour destin de séparer. Séparer l’apparence, qu’elle restitue et oblitère, de ce qui est le noyau universel de l’expérience. Prendre la citation à la lettre est indispensable. À la lettre de la beauté. Dans sa fonction séparatrice, la lettre nous annonce ce qu’il faut négliger pour se tenir en face de ce qui peut valoir.
mercredi 14 novembre 2007
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